Pour réaliser ce nichoir à passereaux, cadeau désiré par Léonard (4 ans), le petit-fils de mon voisin/ami Ferhat, j'ai utilisé ma dernière chute de sycomore (même aspect que de l'érable), acheté il y a sept ans pour réaliser une table pour l'anniversaire de ma fille.

J'ai consulté des sites internet pour ne pas faire n'importe quoi : par exemple, le/les diamètre.s du trou d'entrée, les dimensions, la forme générale, les avantages et inconvénients de tel ou tel choix (les formes peuvent être multiples) :

  • Pour les trous d'entrée, j'ai réalisé un perçage sur la planchette de la façade avec un trépan de 54 mm : il convient aux oiseaux comme les sansonnets, les pics épeiches, etc. Je ne pense pas qu'il sera utilisé, mais... Ensuite, j'ai découpé et percé deux plaquettes amovibles en hêtre avec des perçages de 34 mm (mésanges, rouges-queue, moineaux, etc.) et de 30 mm (mésanges bleues et mésanges noires).
  • Deux trous contre la façade arrière permettent de l'attacher avec du cordage, etc., sur un tronc d'arbre ou un poteau. Une boutonnière, toujours percée sur cette même planchette et placée au milieu, près du haut, permettra de l'attacher contre un mur avec un crochet ou une grosse et longue vis à tête plate.
  • Après la fabrication, j'ai garni le fond du nichoir de fibres/écorces de palmier : le nid est donc déjà quasiment prêt à l'emploi pour tout passereau... paresseux : du duvet parental en supplément, et basta !  Aurais-je inventé la fast-nidification ?
  • La finition/décoration par gravure laser était ce qui m'intéressait le plus : elle m'a permis de personnaliser le cadeau. Léonard sera peut-être fier de montrer à ses parents et amis montpelliérains le nichoir en place... et habité !

Le 15/07/2024